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La Difference
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L'étoile de l'alliance
Stefan George, Gérard Leroy
- La Difference
- Le Fleuve Et L'echo
- 15 Avril 2005
- 9782729115371
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Les filles du cahier volé
Manon Abauzit, Régine Deforges, Leonardo Marcos
- La Difference
- 10 Mai 2013
- 9782729120276
Après la guerre, à Montmorillon, petite ville de la Vienne, deux jeunes filles, Régine Deforges et Manon Abauzit, font leurs études, l'une chez les soeurs, l'autre au collège de la ville. Elles ont seize ans. Régine est rousse, pulpeuse et très belle. Manon est blonde et androgyne. Une liaison amoureuse se noue entre les deux. Un garçon jaloux les épie et vole le cahier du journal intime de Régine. Il le fait circuler parmi ses camarades. Le secret de leur amour est sur la place publique et le scandale éclate. Médisances, opprobre et rejet s'abattent sur les deux filles, particulièrement sur Régine, issue d'un milieu plus modeste qui ne sait pas se défendre. Elle est exclue de son école religieuse, et le collège où Manon suit ses cours refuse désormais de l'admettre.
Régine et Manon témoignent aujourd'hui de la violence qui leur fut faite. Longtemps ce « Cahier volé » empêcha Régine d'écrire et longtemps Manon, que son milieu social protégeait davantage, se sentit coupable du rejet dont fut victime son amie.
Leonardo Marcos fait parler les deux femmes sur cette blessure non cicatrisée et restitue par ses photographies l'atmosphère tendre et voluptueuse.
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La maison de Marie Belland
Denis Langlois
- La Difference
- Litterature Francaise
- 2 Mai 2013
- 9782729120283
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Au IXe sicle, sous le rgne de la grande dynastie abbasside, un mouvement de contestation radicale, sociale, politique et religieuse, s'est dclench, et a abouti, en Arabie orientale et dans le sud de l'Irak, la fondation d'un tat aux principes galitaristes tonnants, notamment entre hommes et femmes.
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Le 6 mai 2008, le calme revenu, Peter Handke s'envole vers l'enclave serbe de Velika Hoca, dans le sud du Kosovo. Irrité par les comptes rendus disjonctés de la réalité qui ont paru dans la presse allemande, notamment, il a hâte de voir de ses yeux ce qu'il advient de ces hommes et de ces femmes qui vivent désormais sous la juridiction albanaise : quelle est la situation économique de ces gens dans l'enclave ?
Comment le nouvel État étranger se manifeste au quotidien ? Qu'est-ce qui a changé pour eux ? Il décèle des changements inquiétants : refus du bilinguisme, déni de l'existence de l'enclave sur les cartes, destruction de bâtiments du patrimoine culturel orthodoxe, difficultés d'approvisionnement, manque d'eau pour irriguer, situation économique précaire, taxes exorbitantes, non respect des droits de propriété... La liste est précise, longue, confondante... Mais Handke décèle aussi un désir de paix dans les deux secteurs, albanais et serbe, de la ville de Mitrovica, la beauté des vignobles et des champs de blé sous le soleil de mai, le chant des coucous omniprésents, la situation géographique privilégiée de l'enclave...
Le lecteur comprendra la nécessité de protester et de rendre public un état de fait passé sous silence.
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« Effrayable ». Avons-nous bien lu ? S'agit-il d'une faute typographique ou d'un mot forgé par une contraction de la langue, « Effroi - effrayer » ? Nous sommes au coeur du sujet de ce livre étrange et bouleversant. Qui parle et maltraite la langue de cette façon ? Une petite fille ou un monstre enfanté par un drame ancien ? Dans la chambre d'asile où le narrateur bicéphale est enfermé (Karminol/Angélique), se dévide l'histoire qui a engendré la folie de son dédoublement. « J'écrisse de l'intérieur de la grassouillette larme que je suis devenussée, moi petite fille que j'ai eu-t-été. » Il faut remonter aux grands-parents, dans les années trente, en Allemagne, pour comprendre l'origine du choc « effrayable » qui a figé la vie du narrateur. Meurtres, viols, exactions continuent de semer la mort longtemps après avoir été commis et longtemps après la disparition de ceux qui en ont été les auteurs. Le docteur peut-il comprendre les violences innommables que le récit révèle sinon, comme le lecteur hypnotisé, en tentant de déchiffrer la langue torturée dont use son patient, où s'inscrivent les blessures, les déformations comme les marques indélébiles d'un traumatisme indépassable.
Andréas Becker réussit dans ce premier roman le véritable tour de force de nous faire vivre la folie de l'intérieur d'un être et de la traduire dans la facture même du récit. Dédoublement du narrateur, déformations de la langue participent de la progressive compréhension de l'histoire dont la tragédie se découvre à travers les séquelles qu'elle a laissées dans l'esprit de celui qui nous la raconte. Que nous soyons dans la vérité des faits ou dans une construction fantasmée importe peu, le réel est dans la tête du malade qui nous narre des événements survenus bien avant sa naissance, lesquels ont produit « l'effrayable » tranquillité du choc.
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Mexique ; les visiteurs du rêve
Olle-Laprune Philipp
- La Difference
- Les Essais
- 12 Février 2009
- 9782729118044
Comment se démarquer de la littérature du colonisateur tout en utilisant sa langue ? quel rôle remplissent la littérature et l'écrivain dans un pays qui, longtemps, a étouffé la diffusion d'informations ? du mexique des conquistadors au mexique contemporain, philippe ollé-laprune retrace l'histoire d'une littérature qui essaye de se dégager de l'emprise du pouvoir, tant hier, lorsque seuls prêtres, soldats et clercs avaient accès à l'écriture, qu'aujourd'hui, oú les auteurs sont saturés de bourses, de commandes, d'invitations mais pénalisés par un réseau de diffusion du livre des plus réduits.
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Teresa, jeune femme mexicaine établie à Paris, décide, à l'occasion d'un retour au pays natal, de ne pas repartir. Elle embarque, avec son ami et son ancien amant - celui-là même qu'elle pensait fuir en choisissant l'exil - sur une chaloupe du nom de Gloria qui les conduit sur les canaux de Mexico. Au cours de cette promenade, s'égrènent entre rires et larmes, alcools et victuailles, leurs souvenirs communs et leurs amours déçues. Teresa y dénoue les fils de sa vie entre passé et présent, Mexico et Paris, où l'attend Charles, son compagnon depuis neuf ans.
Une promenade entre deux villes, Paris et Mexico, pour lesquelles la narratrice éprouve des sentiments entre attraction et répulsion.
Des personnages déjantés, ivrognes, rêveurs, idéalistes... sur qui pèse le spectre de la révolte estudiantine de 1968 réprimée dans le sang par les autorités.
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« Un homme, M, regarde à travers les persiennes métalliques un autre homme qui lit un journal assis sur un banc dans un jardin public. Qui est M ? Qui est cet homme nommé bientôt quelqu'un qui lit son journal dans le parc ? Quels sont les rapports qu'ils entretiennent l'un avec l'autre ? Telles sont les questions qui vont se multiplier tout au long d'un livre, écrit dans la tradition d'un Sterne ou d'un Diderot. La narration va multiplier toutes les hypothèses concernant l'identité des personnages. Et, bientôt. M va apparaître comme un ancien médecin (!) nazi, un expérimentateur de l'horreur, réfugié après la chute du Reich au Mexique. Quelqu'un quant à lui peut, dans une totale équivalence, être à la fois l'agent chargé de sa capture, un écrivain (Pacheco ?) ou l'autre dont la présence insupportable à la paranoïa de M est l'objet de tous ses délires. José Emilio Pacheco a conscience que faire un «roman» sur l'holocauste serait une trahison et risquerait surtout de réduire une vérité aussi indubitable que monstrueuse. Le lecteur est donc mis en demeure de réinterpréter les perversions du récit premier - celui de M -, de résister à tous les artifices d'une fiction toujours scandaleuse face à la souffrance humaine et au caractère irréfutable des faits historiques. Maintenu perpétuellement en état d'éveil par l'énigme posée par l'identité des deux personnages, le lecteur est exilé dans un texte truqué, sans repères, proliférant de toutes les exactions commises par la barbarie humaine : la destruction du temple de Jérusalem rencontre ici celle du sens. »
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Quelle est cette « zone de turbulences » objet du nouveau livre d'Abdellatif Laâbi ? L'intérieure, à laquelle l'oeuvre de ce poète nous a régulièrement conviés ? Celle que traverse aujourd'hui, avec des heurts et malheurs, l'humaine condition ? Celle où notre planète se trouve emportée et dont le dérèglement climatique est un des signes les plus patents ? Pour pertinents qu'ils soient, ces questionnements n'épuisent pas la matière ample, presque démesurée, de ce livre où la poésie reprend parmi ses droits essentiels celui de narrer l'aventure humaine en vue de la transmettre.
La langue, pour ce faire, brasse différents registres, de l'aphorisme au trait d'humour, de l'indignation abrasive jusqu'au chant aux résonances de cantique. Rien d'étonnant en cette conjoncture si Abdellatif Laâbi a été couronné par l'Académie française, qui vient de lui décerner son Grand Prix de la Francophonie 2011.
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OEUVRES COMPLETES : nouvelles complètes Tome 2 ; 1876-1888
Henry James
- La Difference
- Oeuvres Completes
- 8 Novembre 2012
- 9782729120115
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Désordres, en 1965, initie un parcours en toute liberté, dont, à l'écart des écoles, des clans, des mots d'ordre, chaque étape témoigne sans hâte d'une inspiration et de modes d'écriture de plus en plus imprévisibles. Et de plus en plus visibles dans la mesure où les livres évoluent du "recueil", assemblage de poèmes divers, au livre de poésie conçu comme unitaire, ou comme un ensemble de récits organisés selon une logique interne.
Le poète, qui sans cesse se renouvelle sans céder aux caprices du moment, mise sur l'invention ou la réinvention des formes nécessaire à l'orchestration de ses thèmes personnels. Surtout, il fait appel aux ressorts d'une langue qui se ressource danses racines aussi bien qu'elle cultive, non sans rigueur, l'inventivité.
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La maîtresse de M. Briseux ; et sept autres nouvelles
Henry James
- La Difference
- Minos
- 14 Octobre 2010
- 9782729119058
La France a été une référence majeure pour Henry James durant toute sa carrière. Il y fait son premier voyage hors des États-Unis, avec ses parents, à l'âge de deux ans. Il y retourne à treize ans, acquérant ainsi une parfaite connaissance du français. Puis il séjourne un an à Paris, en 1875, avant de s'installer dé?nitivement à Londres. La France, pour lui, est le territoire des moeurs libres entre hommes et femmes, qui le séduisent tout en choquant sa nature puritaine.
Sa toute première nouvelle, Une tragédie de l'erreur, est une sorte de comédie noire, se déroulant au Havre, autour d'une femme adultère et criminelle. Même s'il s'est souvent irrité que le sujet romanesque français par excellence soit l'adultère, la position de James à l'égard de l'« immoralité » des Français a changé au cours de sa vie, et il a ?ni par voir plus de dureté et même de cruauté dans la rigidité moraliste américaine.
Une tragédie de l'erreur, 1864 ; Gabrielle de Bergerac, 1869 ; La Maîtresse de M. Briseux, 1873 ; Madame de Mauves, 1874 ; Quatre rencontres, 1877 ; Rose-Agathe, 1878 ; Mrs Temperly, 1887 ; Collaboration, 1892.
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Partant de son vécu personnel, Abdellatif Laâbi affronte dans Les Rides du lion une fêlure liée à la condition humaine que l'exil peut, selon les circonstances, engendrer en tout un chacun : bannis sans espoir de retour au pays d'origine, déplacés en quête de liberté ou de survie, chercheurs d'altérité et autres rebelles aux consensus. La littérature a depuis toujours scruté cette fêlure au point d'en faire l'un des lieux féconds de l'écriture. Mais rarement son effet de cataclysme sur la perception de soi et du monde a été aussi minutieusement disséqué que dans le récit que nous en offre Laâbi. Qui plus est, l'auteur réussit ici le tour de force de chahuter le désarroi et le sentiment tragique qu'une telle expérience provoque par une dérision proche du sacrilège. Pour parvenir à ses fins, l'écrivain-narrateur (Aïn), plutôt poète, s'aide d'un double caricaturiste (Hdiddane), davantage versé dans la fiction. Ils rédigent à quatre mains et cultivent l'ubiquité pour aboutir à un texte hors norme où l'aventure d'écrire et celle de vivre se réclament des mêmes exigences.
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L'invention du temps Tome 10 ; rêver avec Virgile
Claude-michel Cluny
- La Difference
- Litterature Francaise
- 24 Janvier 2013
- 9782729120146
Un fil d'or relie l'adolescence de l'auteur au bonheur qu'il éprouve à préfacer aujourd'hui Virgile. « Le divin est en nous, ou il n'est pas, » assure-t-il. Mais pour ce poète considéré comme païen, ce dont il s'honore, la vie ne se rêve pas : éditeur de la collection de poésie « Orphée », critique littéraire, voyageur sans autre bagage que sa curiosité, il parcourt la planète en solitaire, dans le culte de l'instant. Surtout, il témoigne, accuse, dénonce l'angélisme, les religions et les utopies, ces « faux-nez des tyrannies ». Car s'il s'enchante de la beauté en amant de la jeunesse il voit aussi mourir un monde que partout on épuise et saccage. Les défis politiques et l'impuissance de la raison nourrissent une lucidité dont il a peut-être pris les leçons chez Tacite et Juvénal. Les moeurs politiques, littéraires, les compromissions et la nuisance de ceux qui nous gouvernent offrent au moraliste un champ de tir inépuisable, où les coups au but ponc-tuent non sans férocité ces années de découvertes, de rencontres, d'amitiés et d'écriture.
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Gonzalo Rojas Pizarro, né dans une famille de mineurs, découvre dès son enfance l'impressionnante, la sauvage grandeur de la terre et de la mer chiliennes. Universitaire familier de Catulle, d'Ovide, poète avant-gardiste, Rojas s'enthousiasme pour le jazz. Devenu diplomate d'Allende, condamné à l'exil politique, il poursuit son oeuvre en solitaire. Rêche, sarcastique, contempteur ou passionné, il dialogue avec le cosmos aussi bien qu'il invoque « la frénésie et l'infortune des empires ». Il mord dans Terre et Ciel, mêle les siècles tel un peintre les couleurs du monde, conjugue le « retour aux origines » et « la faim de vivre comme le Soleil éternellement ». Sa poésie résonne de la rude splendeur du Chili qu'il retrouve en 1994. S'il n'y avait les deuils de l'histoire et la faim des pauvres, on y tutoierait peut-être cet Éden originel.
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A Casablanca, le quartier du Boussbir, lieu des bordels et de la débauche, voit éclore l'amour des jumeaux Zapata et Hawa, fruits de la rencontre d'un soldat américain et d'une prostituée. Liés par une passion incestueuse, monstrueuse, ils grandissent et s'affirment parmi les dealers et les maquereaux qui forment la mafia locale, ces ' anges bagarreurs ', innocemment cruels, que la plume de Leftah transfigure.
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Récits du monde flottant
Mohamed Leftah
- La Difference
- Litterature Francaise
- 4 Février 2010
- 9782729118655
Dans ces nouvelles, Mohamed Leftah nous entraîne auprès de personnages très différents : Héraclite à Ephèse qui revient avec humour sur ce que le monde occidental retiendra de sa philosophie en observant la beauté des passants à la plage ; un fils de kamikaze de la Seconde Guerre mondiale qui hésite entre devenir moine zen ou poète ; un mystique arabe dont la sagesse et la sainteté naissent de la beauté de son jeune assistant - leur mystérieuse relation faisant jaser tout le village - ; mais aussi la belle Fatima, au Maroc, qui devient la proie d'un officier de police et subira viol et humiliation avant de retrouver sa liberté dans la vengeance...
Et, comme dans tous ses autres textes, Leftah se met en quête de la beauté, celle des hommes, de la nature, de la religion et des arts.
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Entre un garçon de treize ans et un jeune soldat allemand, le choc d'une improbable rencontre... 'Sous le signe de Mars' est l' histoire d'une initiation-intellectuelle autant que païenne. Quand la Deuxième Guerre Mondiale commence, l'auteur est encore un enfant ; elle se termine à son adolescence. C'est donc pendant la guerre qu'il fait son apprentissage de la vie et de la mort, qu'il découvre l'amour et que se révèle sa vision du monde. Au coeur du récit, la révélation d'un secret dont la vérité est si violente qu'il va fonder l'oeuvre à venir et la marquer durablement. Né en 1930, Claude Michel Cluny est poète, essayiste, romancier, historien. Parmi ses oeuvres, on trouve un premier volume de 'Poésies' (La Différence, 1991), 'L'oeuvre romanesque' (La Différence, 1994), ou encore 'Le Silence de Delphes' qui n' est autre que son journal intime.
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Toi, Cécile Kovalsky, premier roman de Marianne Sluszny, évoquait une légende familiale et le malheur d'une diaspora juive émigrée à Bruxelles, moins intégrée qu'elle ne le croyait. Marianne Sluszny revient sur ces thèmes dans Le Frère du pendu. Thomas, jeune cinéaste désespéré par sa rupture avec Rivka, ?lle de juifs orthodoxes, découvre dans un coffre lui appartenant une série de cahiers racontant la vie d'un aïeul de son ex-?ancée, un certain Meier, né en 1880 à Siedlice en Pologne. Il se passionne pour l'existence de cet homme, éternel exilé, révolté par la pendaison de son frère Saul par les cosaques en 1905, et décide de réaliser un ?lm sur le destin mouvementé de ce personnage Marianne Sluszny vit à Bruxelles et travaille depuis plus de vingt ans à la RTBF (Radio Télévision de la Communauté française de Belgique) comme productrice d'émissions et de documentaires culturels. Elle est professeur de philosophie à l'Institut national supérieur des arts visuels de la Cambre, après avoir enseigné à l'Institut national supérieur des arts de la scène (INSAS). Toi, Cécile Kovalsky, paru aux Éditions de la Différence en 2005, a obtenu le prix de la première oeuvre de la Communauté française de Belgique et le prix Lucien Malpertuis de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Le Frère du pendu est son deuxième roman.