Filtrer
Rayons
- Jeunesse
- Bandes dessinées / Comics / Mangas
- Policier & Thriller
- Romance
- Fantasy & Science-fiction
- Vie pratique & Loisirs
- Tourisme & Voyages
- Arts et spectacles
- Religion & Esotérisme
- Entreprise, économie & droit
- Sciences humaines & sociales
- Sciences & Techniques
- Scolaire
- Parascolaire
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation
Support
Éditeurs
Prix
Libretto
-
Londres, dans les dernières années du xviiie siècle.
Nous sommes conviés à suivre l'ascension d'une gamine partie du ruisseau mais que son intelligence et sa volonté vont porter au premier rang : jusqu'entre les bras du duc d'york, fils du roi et chef des armées de l'angleterre en lutte contre napoléon. trahie, elle défraiera la chronique à la faveur d'un procès mettant en cause son royal amant, sera traînée dans la boue par les bien-pensants, se battra la rage au coeur pour faire reconnaître ses droits.
Daphné du maurier n'est jamais si bien inspirée que lorsqu'elle traite un sujet qui la touche de près. de mary anne clarke, qui fut sa trisaïeule, l'histoire nous apprend qu'elle fut l'une des grandes courtisanes de son temps ; et qu'elle incarne en son siècle l'une des formes les plus pathétiques de la révolte féminine.
Son aventure - celle d'une femme dressée de tout son haut contre l'hypocrisie de son époque - est pour la romancière l'occasion de composer l'un de ses livres les plus ambitieux, le plus émouvant peut-être.
-
Certains êtres ne sont peut-être pas faits pour le bonheur ; pour Julien Blanc, c'est le bonheur qui ne semble pas fait pour lui. Quand après une enfance déchirante et une jeunesse volée il voit enfin se lever le soleil sur son avenir, là, à Barcelone, loin de Paris où il est « tricard » à cause d'anciens démêlés avec la justice, se profile déjà à l'horizon l'année 1936... La guerre civile. Le retour du malheur.
Il s'engage aux côtés des Républicains, des Anarchistes, mais refuse de prendre les armes. Il sera infirmier, sous les bombes à Madrid, où il risque sa peau pour sauver celle des autres. Son histoire devient alors celle de l'Espagne, passionnée, généreuse, tragique. Heureusement, pour soulager le coeur des hommes, même des moins chanceux, il reste l'amour. Pour Julien Blanc, il s'appelle Paquita.
Mais décidément, il y a des lendemains qui s'évertuent à ne pas chanter...
-
La montagne de la dernière chance
André Bucher
- Libretto
- Littérature Française
- 5 Mai 2022
- 9782369146605
Poussé par la nécessité de fuir la ville, Geffray - délinquant en manque d'estime - fait la connaissance de Louis et Pauline, fermiers et parents amputés d'un fils qui les a mis sur la paille. Mais Georges, un entrepreneur en quête de reconversion, rachète la ferme où ils vivent et entend bien modeler l'espace à sa guise pour assouvir la démesure de son projet foncier.
Gravitant autour d'un canyon qui n'est autre que le poumon de la montagne, tous les personnages courent après leur dernière chance alors que leur avenir fait écho à celui du lieu. André Bucher décrit cet enjeu avec passion dans une langue immersive et poétique. Il fait se croiser des destins, mêlant leur sort à celui de cet endroit qui les recueille, sus-pendu entre ciel et terre, dans le dernier acte d'une saison de l'incertitude.
-
Le jeune capitaine richard bolitho, en cette année 1784 bizarrement marquée par la paix, se voit confier la mission d'aller pousser discrètement les pions de la puissance anglaise au large de bornéo.
Des parages oú les lois de la guerre ne sont pas respectées par grand monde. autant dire que tous les coups ou presque sont permis. l'honneur, à quoi semblent encore tenir les marins en cette rude époque, y perdra des plumes - et bolitho quelques illusions. suite de la réédition de la légendaire série marine "captain bolitho" (des romans que le lecteur peut aborder dans l'ordre qu'il voudra), qui a valu une gloire mondiale à alexander kent, salué comme " le maître incontesté du roman d'aventures maritimes.
" (new york times).
-
-
-
« En savourant le livre Un été avec Montaigne d'Antoine Compagnon, je me suis dit sur le mode de la plaisante- rie : à condition de passer l'hiver avec Schubert. Et je me suis piqué au jeu. Schubert m'est toujours apparu comme une sorte de chaînon entre Mozart et... Proust.
Une quarantaine de textes ont vu le jour, au moment où les nuits sont longues. Le portrait d'un homme ter- riblement émouvant m'est apparu. Un coeur pur, un grand esprit, le meilleur des amis. Et toujours seul.
Premier des romantiques tout en demeurant un clas- sique, Schubert reste le plus mystérieux des composi- teurs. Parce que sa musique éprouve la douleur sans cesser de sourire et qu'elle regarde la mort droit dans les yeux tout en nous faisant aimer la vie.
Cet art subtil répond étonnamment à la crise de notre époque en nous offrant une introspection lucide et cou- rageuse, une mystique tendre pour écouter le monde autrement. Et tellement d'amour. »
-
Nous étions des hommes
Frederic Manning
- Libretto
- Litterature Etrangere
- 22 Octobre 2012
- 9782752909367
Publié pour la première fois en 1929 sous le pseudonyme d'un « certain soldat de 2e classe 19 022 », imprimé à six cents exemplaires et diffusé de façon privée avant d'être un an plus tard un succès de librairie, Nous étions des hommes est l'une des évocations littéraires les plus crues et les plus puissantes jamais écrites sur ce que fut la Première Guerre mondiale. Un livre monument.
-
Écrit en 1852, Basil est, sous la crinoline des robes victoriennes, le plus sexué des romans de Collins : un jeune homme innocent, introverti et issu de l´aristocratie anglaise s´engage dans un mariage qui ne tarde pas à se révéler le pire des traquenards...
Sans pitié pour son lecteur, Collins ne lui fait guère de cadeau et puise dans ses observations quotidiennes pour raconter cette étonnante histoire.
-
Dans les années 1920, une jeune orpheline, doit quitter sa Virginie natale au climat plutôt clément pour rejoindre au Texas un cousin éleveur de bétail.
Elle rencontre lors du voyage un riche négociant qui lui dépeint une région difficile : climat impitoyable, tempêtes de sable, cow-boys frustes et le vent, partout, obligeant les hommes à se terrer dans des trous faisant office de maisons. La jeune fille va devoir affronter cet ennemi implacable qui la poursuit comme un spectre surgi du fond d'elle-même ; ce vent qui dépose le sable, harcèle, enferme dans la solitude et l'ennui et rend chaque visite la bienvenue, ne serait-ce que pour ne plus penser au bétail, à la cuisine ou aux contraintes du désert.
-
Le jeune Loudon Dodd, en dépit d'une famille bourgeoise rêvant pour lui d'une carrière à la Bourse, s'émancipe et découvre les frissons d'une vie autrement plus risquée.
Appelé par Jim Pinkerton dans le grand port de San Francisco, puis initié à des affaires pour le moins hasardeuses, le jeune aventurier s'approprie pour la revendre la cargaison d'un navire échoué. L'équipage, hagard, lui apprend alors qu'au lieu d'inoffensifs sacs de riz, c'est une autre marchandise que contiennent les soutes... Roman d'aventures placé sous le signe du naufrage, intrigue policière ourdie de main de maître, Le Trafiquant d'épaves est aussi le récit d'un vaste piège et une magistrale évocation des bas-fonds du San Francisco de la fin du XIXe siècle.
-
Qui était Adolf ? Quel était le quotidien de ses proches face à ses passages dépressifs, ses exaltations ou ses lubies ? La Niéce d'Hitler s'ouvre en 1908 à Linz, en Autriche.
Dans une ambiance étrange, faite de frustrations et d'aspirations violentes à un changement, quel qu'il soit. La très modeste famille Hitler baptise Geli. Quinze ans plus tard. à Munich. le futur dictateur offre un toit à cette nièce de dix-neuf ans sa cadette. Relativement libre dans ses propos mais de plus en plus surveillée, la jeune fille cotoiera Göring, Goebbels et une kyrielle de militaires, d'hommes d'Eglise, de politiques ou de capitaines d'industrie, tous associés à l'émergence du Parti.
Elle comprendra. mais un peu tard, lorsque "l'oncle Alf", bizarre avec les femmes, maniéré et hystérique, quémandera des faveurs "particulières" et des "châtiments", que vivre dans la proximité d'un monstre n'est pas sans conséquences...
-
Richard, Baba, Jeanne ou Raymond ont un point commun : ils passent le plus clair de leur temps sous terre. Lieu de transit ou de travail, lieu de résidence ou d'asile, le métro est leur monde, avec ses propres règles, ses sourires et ses drames. C'est là, dans les méandres de ses tunnels, que vivent tous ceux qui, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, ne croisent plus la lumière du jour. Chômeurs ou maris plaqués, taquineurs de bouteilles, philosophes ou paumés, ils sont le peuple d'en bas, ceux dont le pied a glissé du dernier barreau de l'échelle. Le trente-sixième dessous dont Bernard Ollivier a fait quinze récits, drôles, attachants, tendres et tristes, comme autant de regards sur ceux qu'on ne voit plus.
-
Psaumes balbutiés ; livre d'heures de ma mère
Erwin Mortier
- Libretto
- Litterature Etrangere
- 10 Septembre 2015
- 9782369140986
Erwin Mortier raconte ici, sous forme de somptueux fragments, la déchéance de sa mère frappée par la maladie d'Alzheimer. Suivant au plus près la progression du mal qui a « commencé à tisser sa dentelle ajourée dans [son] esprit », l'auteur compose des psaumes « balbutiés » qui disent la douleur de lentement perdre l'être aimé en une prose poétique qui transcende ce naufrage.
Erwin Mortier met en mots ce moment si intime, cette fin aux allures de parcours du combattant pour chacun des membres de la famille, en particulier pour son père, et fait de cette histoire un chant d'adieu universel.
À la lecture de ces Psaumes balbutiés, le lecteur ne peut s'empêcher d'avoir une pensée pour le film Amour de Michael Haneke, Palme d'Or 2012 et César du meilleur film 2012.
L'auteur raconte la lente déchéance de sa mère frappée par la maladie d'Alzheimer, ses conséquences sur chacun des membres de la famille. Une histoire intime bouleversante transcendée par un style poétique conférant au sujet une portée universelle.
-
Dans l'Europe orientale au début du XVIIIe siècle, aux confins de la Prusse et de la Pologne, le jeune roi Charles XII de Suède rêve de se tailler un empire qui irait de la Baltique à la mer Noire. et y réussit presque. Un jeune officier de ses troupes, déserteur et pourchassé, prend la place d'un voleur de grand chemin pour échapper à la potence - lequel voleur prend sa place dans la vie. Et c'est l'histoire de ce dernier qui nous est contée : poursuite endiablée d'un bonheur qui toujours échappe, jusqu'à la chute finale, attendue et d'autant mieux pathétique, où la Mort reprend ironiquement ses droits. Perutz considérait Le Cavalier suédois - où il traite avec un sens très cinématographique du « suspense » le thème angoissant entre tous de la substitution d'identité - comme son roman le plus inspiré. Le fait est qu'avec le recul du temps ce récit mouvementé gouverné de bout en bout par l'Ange du Bizarre apparaît à nos yeux comme l'une des plus singulières réussites de la littérature allemande de l'époque. Surtout nous bouleverse ici l'aventure d'un homme qui joue systématiquement les meilleures cartes de l'existence. pour marcher finalement, libéré de tout (sauf de l'amour), vers le supplice ultime qui depuis toujours l'attendait. Peu de textes à ce point parviennent à impliquer leur lecteur dans le réseau charnel d'une destinée vécue pour le meilleur et pour le pire - si ces deux mots, au bout du compte, ont encore un sens. Reprise en collection « Libretto » du Cavalier suédois de Leo Perutz, l'un des plus grands romanciers de langue allemande de ce siècle (« Un Kafka picaresque »). Un récit de pure angoisse sur le thème de la substitution d'identité, qui ne pouvait pas ne pas inspirer un jour un film.
-
Découvrez Il fut un blanc navire, le livre de Tchinghiz Aïtmatov. Un orphelin s'invente des histoires. Il rêve d'un père parti sur la mer qui reviendrait le chercher, lui, l'enfant élevé à la dure dans les montagnes du Kirghizstan. Il rêve avec une paire de jumelles et contemple, très loin sur le lac, un navire blanc à la majestueuse lenteur. C'est un repère et un espoir, une sorte de légende comme il en circule tant entre les vallées et les cols peuplés de chevaux, de loups et de mârals. L'enfant patiente, regarde voler les aigles et évoluer les hommes. Il apprend. Un jour viendra.
-
Découvrez Soleil de cendre, le livre de Ron Hansen. Parce qu'il apprend le suicide de son fils parti vivre au Mexique, Atticus, riche éleveur de chevaux habitant seul dans une ferme du Colorado depuis le décès accidentel de sa femme, bouleverse sa vie pour aller chercher le corps de son enfant. Cet homme taciturne et blessé entame alors une étrange quête parmi la faune que composent les expatriés de la petite ville de Resurreccion. Ce qu'il découvre va bien au-delà des apparences. Peut-on mourir deux fois ? Garder un amour indéfectible quel qu'en soit le prix à payer ? Jusqu'où peut aller le pardon ? Atticus, dans ce Soleil de cendre d'une rare intensité, trouvera une vérité digne des meilleurs romans noirs.
-
Si les Macaulay ne sont pas une famille ordinaire, leur quotidien dans la petite ville californienne d'lthaca est bien celui de la nation tout entière au cours de la Seconde guerre mondiale.
L'aîné se bat en Europe. Homère, quatorze ans.
Protège son plus jeune frère et livre des télégrammes à bicyclette. La mère, veuve tolérante au courage sans faille.
Veille sur son univers où se croisent des personnages empreints de bienveillance. L'âme d'un peuple, faite d'immigration et de rêves, se découvre traversée par les peines et les joies de la vie...
-
Les amis de Bernhard
Annemarie Schwarzenbach
- Libretto
- Litterature Etrangere
- 3 Janvier 2020
- 9782369145561
Bernhard, musicien, grandit dans une ville monotone. Un jour, il répond à l'invitation de son professeur de piano, et va côtoyer la bohème parisienne et les avant-gardistes de Montparnasse. Entouré d'amis qui se cherchent et rêvent d'évasion, nous le suivons à Paris, à Berlin et en Italie. Marqué par une société dans laquelle il ne se reconnaît pas, ce groupe va voyager et faire ses expériences de jeunesse, entre amitiés amoureuses et dépendance affective.
Les Amis de Bernhard (1931) brosse avec subtilité et ferveur, humour et tendresse, le portrait d'un groupe de jeunes gens, ardents et attachants, tous artistes dans l'âme. Une superbe amitié entre Berlin et Paris, villes-phares des mythiques années folles.
-
Ce volume réunit deux courts romans : Alexandre (1929) et Ludwig (1937).
Le conquérant grec et le roi de Bavière ont ceci de commun : ils se sont créé un univers propre, à la fois symbole d'infini et prison, se sont crus les égaux de Dieu et ont poursuivi leurs rêves et leurs illusions jusqu'à la folie.
Klaus Mann retrace avec précision la vie, les conquêtes et les amours de celui qui posséda le plus vaste empire du monde antique, Alexandre le Grand. Avec Ludwig, il nous donne à voir les derniers jours de Louis II de Bavière, monarque à la fois méprisé et craint, qui se noya dans le lac de Starnberg après avoir tué son médecin.
Ludwig a servi de support scénaristique à Luchino Visconti pour son chef-d'oeuvre homonyme -
Rejeton de bonne famille, petit-fils de lady, et fils de médecin, Francis Softly gagne sa vie en caricaturant l'aristocratie rencontrée dans les salons de sa grand-mère.
Aussi, lorsque son père lui enjoint de renoncer à ses dessins, quitte-t-il le domicile paternel pour vivre de son art et connaître toutes sortes d'aventures : tour à tour emprisonné pour dettes, faussaire, il multiplie les exactions avec bonne humeur et insouciance jusqu'à la rupture flagrante avec les codes de son milieu d'origine.
-
« Deux années se sont écoulées depuis que les explorateurs partis d'Angleterre à la recherche d'un passage au nord-ouest ont dit au revoir à leur pays natal et au monde civilisé. L'entreprise a échoué. L'expédition arctique s'est perdue au milieu des glaces des mers polaires. Les excellents navires Wanderer et Sea-Mew, ensevelis dans ces vastes solitudes, ne sillonneront jamais plus les flots. ».
Après un terrible hivernage au milieu de l'océan gelé, un équipage parti en 1845 et mené par Sir John Franklin est décimé par la faim et le froid. Dans cette longue nouvelle, à l'origine une pièce de théâtre écrite avec Charles Dickens, William Wilkie Collins livre le récit de ces gentlemen anglais soumis aux impératifs de la survie et révèle les profondeurs glacées de l'âme humaine. -
Ce n'est pas toujours chez l'ennemi que l'on trouve les pires adversaires.
Il peut y avoir au sein d'un même camp des haines si tenaces qu'elles s'apparentent à la folie. Les frères James et Harrv Ludlow, corsaires qui se battaient sur nier pour l'Angleterre contre la France révolutionnaire, se sont crus sauvés par un vaisseau (le la reine après avoir été coulés par une frégate ennemie. Erreur ! Recueillis à bord du mal nominé Le Magnanime, ils se trouvent à la merci d'un capitaine qui ne rêve que de les voir pendus.
Torturés ou jetés vivants en pleine mer glacée. Hasard ou fatalité, le second (lu navire est retrouvé une nuit sauvagement éventré et tout semble accuser James. Harry devra innocenter son frère. Son enquête mettra au jour une bien dérangeante vérité...
-
Familiarisé depuis longtemps avec la légende du Far West américain, le lecteur occidental ignore généralement que l'aventure, au siècle passé, a dû défier les mêmes « frontières » et les mêmes dangers dans sa course vers l'est - les rivages de l'inaccessible Sibérie. À ceci près que dans ce Far East, les distances sont à multiplier par trois, les Indiens sont des Turco-Mongols aguerris, et la population « blanche », essentiellement composée de bagnards évadés, ne s'embarrasse ni de juges ni de shérifs...
Les quatre voyages que l'auteur entreprend dans ces régions nous conduisent successivement à travers les forêts de l'Ienisseï, dans les montagnes de l'Oussouri, au nord de la grande île de Sakhaline, dans les monts Altaï enfin, aux confins du Kazakhstan, de la Mongolie et du Sinkiang. Ferdynand Ossendowski, conteur de génie, nous mène à la rencontre des bêtes et des hommes tapis dans ces zones de solitude. Ses témoignages d'une incroyable précision virent à la moindre occasion au romanesque le plus échevelé.